Huush
Il existe des groupes qui portent mal leur nom. Nirvana, par exemple, n’est pas précisément défini par son apaisement transcendental. Les Who sont loin d’être des inconnus. Même chose avec Huush (« chut ») – bien décidés à faire du bruit au Liberté. Ce nouveau projet house punk d’un trio rennais venu du groupe Eighty livre des textes débridés dans un rock psyché parfois à la limite de l’expérimental. Zéro nirvana, mais un joyeux chaos qui emporte tout sur son passage.
Samedi 9 décembre au Liberté
Ils sont considérés comme une des étoiles montantes du post-rock français. Nourris à grandes rasades de Mogwaï, Board of Canada ou encore Explosions in the sky, Hanry (avec un « a ») est apparu il y a moins d’un an mais a déjà réédité son premier EP. Il rassemble d’ailleurs des pas-si-inconnus-que-ça, puisque certains de ses membres ont été aperçus, un soir de pleine lune, chez Les Gordon ou Championne.
Vendredi 8 décembre au Hall 3 (Parc Expo)
Championne
Championne, c’est le nouveau projet musical de la Rennaise Mathilde Lejas, dont le son pop-rock ascendant coldwave et les textes en français ont tapé dans l’oreille des Trans. On l’avait déjà chez Cavale Blanche. Son premier titre, Bilboquet, viscéral et aérien, dilué dans un flou en noir et blanc, est à découvrir sur Youtube. L’idée de Championne est venue à Mathilde Lejas pendant le confinement, un flot de texte autour desquels elle a rassemblé quatre autres compères. Une résidence, une première partie à l’Ubu, et bim : la Championne est sur le ring.
Jeudi 7 décembre au Liberté
Mokhtar
Un vent saharien souffle sur Rennes. Mokhtar, projet né à Rennes des mains de cinq magiciens, tisse son funk electro-jazzy, au mitan du hip-hop et des musiques traditionnelles. Il est plus facile pour un dromadaire de passer par le chas d‘ une aiguille que de décrire ce style inclassable où le basson amplifié répond au saxo sur fond de claviers/basse/batterie. Attention, tempête du désert en approche.
Samedi 9 décembre au Liberté
Gustav
Gustav est un duo de loups-garous, des musiciens hybrides qui se transforment sous le couvert de la nuit depuis 2018. Mais pas de crocs ni d’échine velue pour Michele de Cesare et Pierre Petroni, rencontrés à Lille puis exilés en Armorique. Seulement un genre hybride, des rythmes club allant du post-punk au disco au rythme de riffs crépusculaires.
À découvrir dans l‘énigmatique clip Western, extrait de leur 3e EP La Nuit.
Vendredi 8 décembre au Liberté
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