Le Gstaad Menuhin Festival est un cas. Station luxueuse, avec sa promenade bordée d’enseignes de luxe, ses chalets briqués inondés de géraniums et de pétunias, sa clientèle a priori plus Porsche que Mozart – l’un n’empêchant bien sûr pas l’autre. Et voici un festival inspiré par le moins mondain des musiciens, Yehudi Menuhin (1916-1999), qui le fonda en 1957 dans un esprit d’exigence spirituelle. La manifestation aurait pu dévier de sa trace pour devenir un rendez-vous d’élites, mais son directeur Christoph Müller l’a au contraire maintenue et développée avec une solide ambition intellectuelle et artistique. Preuve en est le thème de «l’humilité» (Demut, puisque ici l’allemand domine) choisi cette année, en ouverture d’une série de trois festivals inscrits sous le signe du changement.
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