Marlon Brando, Robert De Niro et Edward Norton tentent un gros coup dans The Score, réalisé par Frank Oz. Et c’est un casse qui a de la classe !
Vous l’avez sans doute déjà remarqué, mais le film de casse est un véritable aimant à stars, et cela ne date pas d’hier. Il n’y a qu’à regarder le nombre d’exemples sur les trente dernières années, de Heat à Ocean’s Eleven en passant par Insaisissables. Au-delà de l’intérêt commercial, choisir des visages connus permet d’instaurer un rapport de connivence immédiat entre le spectateur et les comédiens et avec The Score, on a un peu l’impression de se sentir à la maison.
Plus connu pour sa collaboration avec Jim Henson sur la franchise des Muppets ou sur Dark Crystal, Frank Oz récidive ici en dirigeant trois comédiens hors pair : Marlon Brando, Robert De Niro et Edward Norton. Une affiche prestigieuse qui permet au réalisateur de décrocher son plus gros budget à l’époque, soit 68 millions de dollars. Mais outre son casting de luxe, The Score offre aussi un parallèle astucieux entre le rôle de l’acteur et celui du cambrioleur.
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Dès l’ouverture du film, la couleur est annoncée. Nick (De Niro) force un coffre-fort dans le silence le plus complet. Tout est mesuré, millimétré : un vrai travail d’expert. Ces premières minutes nous rappellent alors le prologue du Solitaire de Michael Mann, et on sent Oz très inspiré par cette typologie de personnages, à la fois hors-la-loi et d’un professionnalisme irréprochable. Ce n’est qu’une fois le butin dérobé que le héros comme le film peuvent « souffler » et la bande-son jazzy d’Howard Shore s’enclenche logiquement au même moment.
Cette entrée en matière n’est ni plus ni moins qu’un avant-goût de ce qui va suivre. Trois malfaiteurs, Max (Brando), Nick et Jack (Norton), acceptent de faire équipe pour exécuter leur plus gros coup : voler un sceptre en s’infiltrant à l’intérieur d’un bâtiment sous haute surveillance. Mais plutôt que de s’attarder sur le casse lui-même, loin d’être expédié cela dit (tout le dernier quart du film lui est consacré), c’est la mise en place qui semble passionner Oz.
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