Auteur, compositeur et interpète, l’artiste biterrois publie un double album enregistré en public et intitulé « Optimiste live », qui rassemble les meilleurs moments de sa tournée. Rencontre.
Généreux et optimiste, Marc Hévéa poursuit son bonhomme de chemin artistique et musical. L’auteur, compositeur, pianiste et arrangeur biterrois sort un double album live qui rassemble les meilleurs moments de sa tournée. Au programme : textes ciselés sur rythmes jazzy, groovy ou ballades chaleureuses. La présentation officielle de ce disque a lieu le vendredi 26 avril au théâtre Le 57, à Toulouse, et le dimanche 28 avril, à la salle Claude-Nougaro, à Montady.
Ce nouvel opus est un condensé de votre tournée, non ?
Oui. J’ai commencé la tournée avec l’album « Insolites solos », il y a deux ans et nous avons enregistré tous les concerts puis retenu la meilleure version de chacune des 21 chansons du spectacle. Elles constituent ce double album « Optimiste live ». La plupart sont récentes mais certaines sont tirées des précédents albums « Homme sweet homme » et « Nos liens de chant ».
Ce qui me touche, c’est le très bon retour du public. Grâce aux micros d’ambiance, on entend bien les réactions de la salle et c’est formidable ! Des gens m’écrivent aussi. Cela fait chaud au cœur et c’est ce qui rend vivant ! Sans ça, ce serait un peu fou de monter sur scène pour défendre des trucs que j’ai écrits, affronter le trac et se faire un peu peur !
Le titre de l’album “Optimiste live” fait référence à une de vos chansons ?
Je suis résolument positif. J’en ai besoin et je pense que les gens en ont besoin aussi. Je ne dis pas qu’il n’y a pas de problèmes. Mais je pense que nous vivons dans un pays où il fait bon vivre. Je ne me place pas en donneur de leçons, non plus. Mais on arrivera mieux à faire face aux défis actuels si on reste positif que si on sombre dans la défiance et la plainte continuelle. La chanson Le métier d’optimiste a suscité un retour considérable sur les réseaux sociaux. Les gens m’ont écrit pour dire qu’ils ont été très touchés par le sujet.
Vous êtes fan de Claude Nougaro qui a disparu il y a 20 ans ?
Oui. Je l’avais rencontré. Il m’avait dit que ce qui lui faisait plaisir, c’est qu’on reprenne ses chansons mais, surtout, qu’elles donnent envie d’écrire ses propres textes. C’est ce que j’ai fait. J’ai gardé des liens avec sa veuve Hélène et sa famille.
Depuis, où que je sois en France, ils parlent de mes concerts sur leur site. C’est un grand honneur pour moi !
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