Depuis six ans pour le premier, cinq pour le second, ils sont devenus le rendez-vous tendance des Cognaçais pour venir boire un verre, et plus…
Depuis six ans pour le premier, cinq pour le second, ils sont devenus le rendez-vous tendance des Cognaçais pour venir boire un verre, et plus si affinités. Autant dire que leur réouverture, cette semaine, était guettée du coin de l’oeil. «C’était prévu depuis trois semaines», sourit Pauline, venue prendre du bon temps sur le rooftop de Martell avec des collègues de travail. Qu’importe s’ils travaillent dans une maison de cognac concurrente. «C’est un lieu super, avec la plus belle vue de Cognac et une équipe de bartenders toujours dynamique axée sur la mixologie, c’est vraiment chouette», souligne son collègue Jean-Baptiste, en sirotant son verre.
La plus belle vue de Cognac avec une équipe de bartenders toujours dynamique.
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Malgré la fraîcheur de la soirée et le vent, ils étaient nombreux ce mercredi soir à ne pas manquer l’ouverture du bar Indigo by Martell. Perché à 24 mètres de hauteur (le plus haut point de vue de la ville après le clocher de Saint-Léger) sur le toit de la tour historique de la Maison Martell, datant de 1928, la terrasse de 400 m² surprend autant par sa vue à 360° sur la ville, jusqu’au vignoble, que par sa longue carte de cocktails.
Derrière le bar, l’équipe dirigée par Baptiste s’active pour les préparer, devant les clients qui font la queue. On retrouve les grands classiques de la maison, signés Rémy Savage, sacré meilleur mixologue du monde en 2022, comme la Fine à l’eau (VS, verjus et eau pétillante), mais aussi tout un tas de cocktails avec ou sans alcool, bières, vins, sodas, ou jus de fruits bio. «Nous avons pas mal renouvelé la carte cette année avec notamment des slowcktails, avec des doses limitées en alcool», indique Baptiste.
Une centaine de places assises permettent d’en profiter, une assiette de charcuterie, de fromage ou de spécialités libanaises (mezzé, houmous) ou grecques sur la table. Et pour se divertir, un jeu de Mölkky est proposé en libre-service.
Concerts à venir
À quelques centaine de là à vol d’oiseau, l’autre rooftop de Cognac, aux Chais Monnet, ne manque pas non plus d’atouts. Lui aussi a rouvert au public, cette semaine, après plusieurs reports la semaine dernière dus aux intempéries (un bel orage samedi). Et là aussi, ce retour était attendu. «Pour notre première soirée, mardi, nous avons accueilli une cinquantaine de clients», souligne Anthony Houette, le directeur général de l’hôtel cinq étoiles.
S’il est un peu moins élevé que son concurrent qui le toise à distance (12 mètres «seulement»), il offre lui aussi une vue panoramique sur la cité des eaux-de-vie. Plus vaste, avec ses 750 m2 de terrasse, il accueille près de 80 places assises autour du bar, baptisé Guinguet’. La décoration y est, comme l’hôtel, très chic, dominée par l’acier corten du mobilier et des poutrelles qui surplombent le bâtiment, rappelant les couleurs du cognac.
Pour apporter de la fraîcheur à la clientèle, qui avait tendance à déserter les lieux lors des forts ensoleillements estivaux, des voiles d’ombrage ont été installés. «Et on a déjà pu mesurer leur efficacité», se réjouit le directeur, qui a également souhaité apporter un peu de fun, avec un terrain de pétanque (lire encadré).
Côté carte, là aussi, on retrouve un large choix de cocktails, avec ou sans alcool. Mais également du snacking avec des planches à partager : charcuterie, fromage, houmous, mais aussi sardines, huîtres et caviar de Gensac. Les amateurs retrouveront aussi une cave à cigare. Niveau tarifs, on sent que l’on est dans un cinq étoiles, même si un effort est consenti pour rester accessible, avec des cocktails qui démarrent à 12 €.
Des concerts de musique live sont prévus tout l’été sur les deux rooftops, pour profiter au mieux des couchers de soleil. Avec une ambiance plus jazzy et soul à la Guinguet’ (chaque vendredi et samedi dès 22h), plus éclectique à l’Indigo (quatre concerts programmés dans l’été).
Des parties de pétanque cinq étoiles
Aux Chais Monnet, la grande nouveauté cette année, c’est l’installation d’un terrain de pétanque synthétique, le long du bar. On y joue avec des boules spéciales, avec une coque en PVC, pour éviter que le bruit des carreaux dérange les tables voisines. «Comme elles ont un noyau en acier, on a la sensation, au niveau du poids, de jouer avec une boule classique, observe Anthony Houette. On l’a testé avec un groupe début mai, et ils ont joué toute la soirée!», sourit le directeur. Comme le Mölkky, qui est également proposé, les parties sont gratuites. «L’objectif c’est d’apporter de la convivialité.» Autant que démocratiser l’établissement.
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